Ou « Mon guidon, le constat »
Catégorie : Aventures quotidiennes
Des fois je suis un aventurier…
Mon guidon, again
Appelé le mec là maintenant.
Du coup il répond vachement mieux, ce trou du cul 🙂
Rdv ce soir à l’endroit de l’accident.
Il a intérêt à se pointer.
Mon guidon, suite
Sur les conseils de Joe, je lui ai envoyé un sms:
« J’ai noté votre plaque. Ce n’est pas dans votre intérêt de ne pas me répondre. »((court, sec, incisif sans être violent. Classe, non?))
Ce à quoi il répond 1/4 d’h plus tard:
« Désolé, je n’ai pas eu le loisir j’usqu’à présent de vous rappeler. je ne pourrais pas ce soir non plus. je vous appel demain dans la journée si c’est possible pour vous ou alors demain soir. voilà veuillez m’excuser. » ((J’ai gardé les fautes))
Il flippe, le gars.
Tant mieux. Mais j’aurais tout de même aimé lui faire envoyer le constat par son assurance, juste pour le plaisir de lui faire comprendre qu’il vaut mieux être honnête.
Mon guidon
Ca faisait euh … bien longtemps que je ne m’étais pas cartonné avec ma bécane. C’est chose faite samedi soir.
Comme d’hab, mail au jbt. As usual, recopié ici…
Mon démarreur 2/2
Alors, mon démarreur…
Suis donc allé à Versailles ce midi voir Thomas.
Le temps de choper des sandwich, et vla la moto dans l’atelier.
3 4 coups de tournevis pour tester le relais et la batterie, verdict: la batterie est bonne, c’est le démarreur qui fait chier.
De deux choses l’une:
– soit c’est l’induit, et ça coute cher
– soit c’est les balais, et un coup de nettoyage suffira
– soit il est complétement mort et il nous explose dans les mains qd on l’ouvre, auquel cas je repars pas.
Je décide qu’on l’ouvre pour voir ce qu’il a dedans.
TIPS: débrancher la batterie avant de démonter le démarreur, ça évite les arcs 🙂
Effectivement, c’est bien crade, dedans: les contacts sont tous liés entre eux par la poussière des charbons. Thomas prend une lame de cutter et du papier de verre pour nettoyer ça.
Pdt ce temps, je dévisse les tés afin de faire tourner les axes des suspates avant pour voir s’ils sont tordus: j’avais le sentiment de conduire en canard. Si les tiges bloquent qd on les tourne, c’est qu’elles sont tordues!
Je tourne, ca tourne, dc c’est pas ça. Je ressers les vis.
Thomas remonte le démarreur, met le contact, et ô bonheur, ça marche!!
Il me dit que si ça colle encore, faudra changer les charbons.
Il va à son tour faire tourner les axes et là
TIPS: serrer FORT les vis! Vaut mieux trop serré que pas assez!
Bref, c’est pas ça.
Il remet une vis qui manquait à mon garde-boue, et demande à son collègue d’appuyer sur l’arrière de la moto, pour lever la roue avant.
Et là SHBAM! il met un grand coup sur un des côtés de la roue. Il regarde la moto droit dans la roue avant, et SHBAM un autre de l’autre côté.
« Ca devrait aller » qu’il me dit
« !!!! » que je me dis.
Bien bien bien…
En tt cas ça a l’air aligné 🙂
Un coup d’oeil à la chaîne.
Mmm… pas très très tendu, tout ça…
Et là, même remarque: « Ptain mais sers-les, tes vis! »
TIPS: une vis plus grosse que le petit doigt, y pas moyen de la pêter, donc on peut serrer comme un malade. En général, faut tout serrer comme un malade.
Café, puis je repars, je le remercie, et il me dit « hésite pas! [à revenir, pas à serrer les vis. Enfin aussi mais là non] »
Du coup, là, ma moto démarre, et le guidon est droit 🙂
Je le béni jusqu’à la 18000ème génération.
Mon démarreur 1/2
Série de deux chtis mails envoyés au jbt.
La grimpette, c'est chouette, mais ça peut faire mal.
Grimpette hier à Fontainebleau avec Arnaud et Guillaume.
Fontainebleau, pour ceux comme moi qui ne connaissaient pas, c’est des rochers, plein de rochers, de deux ou trois mètres de haut. Les pistes sont indiquées par des couleurs. On n’est pas assuré (pas de baudrier, pas de cordes) on a juste un crash pad (matelas portable qu’on met en dessous de la voie qu’on fait) pour amortir le choc en cas de chute.
Guillaume avait un crash pad, en bon habitué du coin.
Tout s’est bien passé juqu’à une certaine voie bleue.
La crash pad était posé sur un assez gros caillou (y avait pas bcp de moyens de le poser autrement). Je grimpe et je me gauffre. Mon pied droit tombe sur le crash pad, à la limite sur le bord du caillou. J’ai entendu et senti ‘crac’.
J’ai pu marcher juqu’à la voiture. En chemin, on s’est arrêté au MacDo pour manger un bout, j’ai demandé de la galce, ils m’en ont filé un sac. Ca a un peu calmé la douleur.
Suis ensuite rentré en moto jusqu’à chez moi (j’étais allé jusqu’à chez Arnaud en moto, et de chez lui avec Audrey en voiture jusqu’à Bleau) (merci à eux pour leur aide et soutient!).
Dans la soirée, ma cheville a commencé à faire sacrément mal, donc direction hosto (10000 mercis à Paul pour m’y avoir amené). Sorti de l’hosto à 3h du mat’ (diagnotisque: élongation) avec un strap et une ordonnance: des anti-douleur et inflammatoire, 15 séances de kiné, et 3 à 4 semaines d’attelle.
Et évidemment, plus de pong et de grimpette pendant un certain temps…
Ma moto est une Cooper!
Il y a 1 mois 1/2 je reçois un avis de prune comme quoi j’aurais été mal stationné dans le 20ème, un jeudi 9 Mars à 11h10.
C’est bien ma plaque, sauf que j’ai rien à foutre un jeudi à 11h dans le 20ème.
Je demande un papier à ma boîte comme quoi j’étais au taf ce jour-là, je rédige une tite lettre, je met un chèque du montant indiqué (33€) (on m’a dit qu’avec les prunes, c’est « paie d’abord, discuter après ») et j’envoie le tout.
Hier, rebelotte: prune pour non-paiement de parcmètre, dans le 11ème, le 11 Avril à 14h07. Je n’ai pas plus à faire ce mardi-là dans le 11ème que l’autre jeudi dans le 20ème.
Je m’en vais donc ce matin porter plainte.
Après petite recherches, il s’avère que l’autre propriétaire de ma plaque est une Mini Cooper!
Je porte donc plainte pour usurpation de plaque. Selon le mec, c’est pas intentionnel, et ça serait plutôt un garagiste qui aurait inversé des lettres sur la plaque qu’il a faite.
Il me dit aussi un truc bon à savoir: payer vaut reconnaissance! En d’autres termes: si tu paie ta prune, c’est que tu avoue que tu reconnais que c’est toi qui a commis l’infraction.
Donc tu peux toujours protester…
Gab vs SesChiottes: épilogue
Je vais au taf l’après-midi. Plus rien ne fuit dans ma salle de bain, mais je suis tout de même un peu anxieu: des fois que ça déciderait de fuire pendant que je ne suis pas là.
Je reviens du taf vers 21h. Pas de coup de fil pour m’annoncer une catastrophe.
Je prends l’ascenceur, j’arrive sur mon palier: c’est sec.
Je regarde en bas de ma porte d’entrée: pas d’eau.
J’ouvre la porte d’entrée: le parquet est intact.
J’ouvre la porte de la salle de bain et je regarde le sol: un désert.
Je passe un doigts sur les bords: sec sec SEC!
Et là je laisse éclater ma joie.
Gab vs SesChiottes: 6-5
Ou au cours de la 2ème mi-temps et des prolongations, l’auteur sort son arme secrète et vainc de haute lutte.