Trifouillage dans le blog

J’ai profité des nuits où je ne dors pas (ahum) pour apporter quelques petits changements à ce blog :

  • La skin a  un tout petit peu changée. Un poil plus sobre. Si vous n’aimez pas, dites.
  • Une plugin qui permet de consulter décemment depuis un mobile. Essayez avec n’importe quel iPhone/BlackBerry/Android.
  • Configuration de WP-Super-Cache, qui accélère normalement la consultation de ce site.
  • Nouveau plugin de stats, en test à la place de slimstat, qui faisait assez peu de ce que je souhaite, et beaucoup de choses pas si utile. De plus le nouveau plugin (WordPress Stat) permet de consulter lesdites stats depuis une appli iPhone/Android (Geek 4 ever)
  • Un plugin de traduction. J’ai remarqué que pas mal de gens qui arrivaient ici par hasard le faisaient depuis Google en recherchant des infos sur tmpfs (et atterrissent ici). Comme j’ai de bonnes raisons de croire qu’il n’y pas que des francophones qui cherchent ce genre d’info, je suis en train de traduire en anglais les articles susceptibles d’être intéressant pour d’autre (j’ai l’humilité de croire que mes états d’âmes n’intéressent qu’un nombre restreint de personnes). Vous verrez maintenant à droite et un bas des boutons permettant de passer de la vesion française à la version anglaise, et un message avertira en début d’article si une version anglaise de celui-ci est disponible.
  • Les urls des articles ont maintenant une meilleur tête (le titre du billet y est inclus). C’était nécessaire pour que WP-Super-Cache fonctionne. Effet de bord : une fois l’article consulté, vous pouvez y accéder directement depuis votre navigateur en tapant quelques mots du titre.

Valeu 🙂

S’il te plaît, saigne

Si les mots sont le sang de l’âme, alors je ne saigne pas assez…

Je vois mes blessures mais ne sais comment les guérir.

Je vois comment les guérir mais ne sais le faire.

Je vois comment le faire mais n’ose en emprunter le chemin.

Je vois comment en emprunter le chemin mais n’ose faire le premier pas.

Je vois comment faire le premier pas mais ne sais pas si c’est le bon.

Je vois que c’est le bon mais ai des barrières.

Je vois ces barrières mais n’ose les sauter.

Je sais comment les sauter… mais saigne trop pour risquer de le faire.

Please, bleed ; répands, éclabousse, tâche, contamine (ensemence ? ), circule, anime, nourris, colore …

Tracklist : « Please bleed », de Ben Harper. Pour le titre.

Atterissage de l’albatros

L’albatros est un oiseau qui a une envergure pouvant atteindre 3m40, soit bien plus que le vautour. Ces deux oiseaux, avec un peu de chance, peuvent se voir en Patagonie. Nous n’avons vu que le premier, sur le canal Beagle. Il ne faisait bien sûr pas 3m40. Une autre caractéristique de l’albatros est sa capacité à atterrir en bordel. Ce que n’a fort heureusement pas fait notre avion.

Votre serviteur, par contre …

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Le temps est fou

La ville n’a donc rien de fascinant, bien au contraire, mais autour, c’est une autre histoire…

Le temps (pluie) n’a donc pas permis de faire une balade dans le parc national de la Terre de Feu, donc nous nous sommes organisé pour les prochains jours. Pour ce jour, cheval ; le lendemain, marche et canoë ; et le dernier jour matin, promène-couillon bateau sur le canal Beagle (le bras de mer de 180km devant Ushuaia qui relie l’Atlantique au Pacifique).

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Bout du monde

Ushuaia… Le bout de la Patagonie, la Terre de Feu, nom aux résonances mythiques… Hé bien qu’il reste dans votre imaginaire avec les rêves qui y sont attachés, sans jamais se confronter à la réalité : le cadre est certes idyllique (les montagnes, hautes et proches, forment un superbe écrin pour la ville) mais la ville est chiante comme la pluie : prenez Le Havre, Boulogne sur Mer ou n’importe quelle ville chiante, et vous avez Ushuaia. Un rêve s’écroule.

Anyway, j’avais tout de même un sourire de gamin en arrivant. Nous avons arpenté la rue principale en long en large et en travers avant de finir dans un pub irlandais. Demain, si le temps n’est pas trop pourri, crapahutage dans le parc de la Terre de Feu.

Burnt by the sun

Clavier qwerty et pas beaucoup de temps…

Après 18h d’avion et 19h de car, arrivé à Puerto Madryn, près de la Peninsula Valdez, à … 7h du mat’ (oui, on est comme ca…) Première journée (hier) passée à faire du vélo pour aller voir les lions de mer (tiens, et on a croisé une baleine morte sur la plage, aussi) et constatation : il fait un temps parfaitement magnifique, quoique frisquet le matin, et … la Patagonie est sous le trou de la couche d’ozone. Ainsi donc indice 50 obligatoire, et les zones épargnées ou négligées se vengent durement : à l’heure actuelle le moindre photon qui heurte mes bras me fait l’effet d’une claque…

Le lendemain  (aujourd’hui, donc) visite des habitants du lieu : la baleines et le pingouins, à la Peninsule Valdez. Les trajets entre les différents points du vu sont pour la plupart long et chiant, d’ailleurs tout le monde dort pendant que je lis mon bouquin, mais ça vaut le coup d’œil, vraiment. Faudra juste pas voir des baleines tous les jours sinon je n’aurai pas assez d’espace sur ma carte mémoire.

So far, tout va bien. Demain départ pour El Calafate via Rio Gallegos (oui, quelque chose comme plus de 20h de car)

Ca va finir par se voir

Batucadas, jour 3.

Suite à un emploi du temps embouteillé cette semaine, je vais aux batucadas ce lundi. Suite à une conf apache qui me résiste, je pars à la bourre du taf. Suite à une RATP de merde j’arrive trop à la bourre pour le cours de 19h. Plein d’indécisions, je me rabat sur le cours de 21h.

Que je pensais pour les débutants.

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