Let me dance with you …

Bougeage de cul et donc Capoeira lundi soir.
Entraînement habituel, rien de fascinant, sauf que je n’arrive pas encore assez à faire le negativo, mais bon.
Et c’est indéniable (et incorrigible ? ), je suis une tanche en coordination des mouvements. Ou est-ce justement le but de la manœuvre, apprendre cette danse ?
Pourquoi j’ai l’impression que certain y arrivent plus naturellement que moi ?

La capoeira c’est sympa, mais quand y a trop de monde, moins

Capoeira Capoeira Capoeira … Jamais envie d’y aller, mais je fais toujours bien de me motiver.

Comme c’est la roda do mes les cours sont un peu spéciaux : entraînement pour tout le monde pendant 1h30, puis roda.

Et comme on est beaucoup, c’est un peu le souk. Pas gym tonic cette fois-ci. Entraînement classique : ginga, entraînements en ligne, puis deux par deux. Assez crevant. Pendant la dernière demi-heure, entraînement libre. Je copie un peu, j’essaie le macaco. Enfin … des figures qui s’en rapprochent, plutôt. Ce qui fini par me niquer le dos.

Puis rentrage, encore une fois tout trempé.

Je pense que j’en suis à un plateau : il me faudra du temps pour progresser.

Ou alors bien plus d’entraînement.

Snow is always nice …

La Capoiera, ça fait mal au bras

Blues du lundi, hier, donc mise en mode automatique au moment d’aller à la Capoeira

Peu de personnes, hier soir, entraînement standard (sauf qu’au lieu de passer de la musique de Capoeira, pendant les échauffements, il ferait mieux de passer Gym Tonic ), on s’entraîne à des trucs un peu touchy.

Petit à petit la ginga rentre, et j’apprends enfin le negativo.

Puis vient la roda. Trop peu de personnes donc c’est mestre poste qui fait la musique. M’emportant, je ne fais que des conneries, au point qu’un gars avec qui je jouais a arrêté la partie pour la recommencer en me disant : « on y va calmement : j’attaque, tu esquive, et on alterne ».

Bilan : un franc coup de pied dans le bras pour cause d’esquive à l’envers (qu’on ne vienne pas me dire que la Capoeira ne fait pas mal … ); un compasso trop rapide sans regarder l’adversaire, que j’ai donc failli éclater; et une entrée dans le jeu loupée pour cause de non observation de ce qu’il s’y passait.

Au moins j’apprends …

La capoeira c’est bon même quand il fait froid

Enfin, pas trop quand même …

Arrivé un peu à la bourre, salle pas chauffée (hé oui, c’est un squat) échauffements comme la dernière fois, sauf que les pompes sont remplacées par de negativo d’un côté et de l’autre.

On se refait des échauffements en ligne avec au, puis la pasada comme une des autres fois (un compasso mais fait dans un carré). Comme c’est une esquive on la couple à une attaque compasso.

Pasada que j’arrive décidément pas à faire dans le mouvement.

Puis viens la roda, sans grande nouveauté.

Je crois que j’en suis à un stade où je plafonne, et je ne le dépasserai pas tant que je n’en ferai pas un peu plus souvent (à moins qu’en fait je me fasse chier … ). Et j’en reviens au problème de départ : la capoeira n’est pas ma vie, et je n’y passerai pas toutes mes soirées.

Ceci dit … je me suis informé sur le krav maga, hier soir, et ça aurait l’heur de me plaire, ce truc-là …

La capoeira, c’est bon aussi tous les mois

Arrivé cette fois-ci à l’heure j’ai vu que je j’avais loupé la dernière fois à l’échauffement : abdos et pompes en prime.

Séquence usuelle : en rang, puis en ligne face au mur, puis deux par deux. On refait des queixada, puis une autre figure dont j’ai oublié le nom mais qui consiste à aller pêcher les pieds de l’adversaire.

S’ensuivent les enchainements, puis la roda. Cette fois il y avait plus de monde, et en proportions moins de débutants.

Je ne reste pas au cours suivant, qui est en fait la roda do mes. Un peu claqué et … un je-ne-sais-quoi qui fait fait que je n’ai pas envie de rester.

Je me dis que j’ai vraiment besoin de plus d’entrainement que les autres pour enchainer tout comme il faut. Comme si mon cerveau se bloquait dès qu’il faut faire des enchainements : je suis obligé de réfléchir, tout ne s’enchaine pas fluidement. A voir ceux qui sont plus doué que moi je me dis que ça doit rentrer plus facilement, chez eux …

La neige se déplace …

La capoeira, même en retard c’est bien

Tout claqué de ma course la veille, je vais tout de même à la capoeira, à laquelle je me pointe 25 minutes en retard pour cause de monstre à battre. Ahum …

L’échauffement a déjà été fait, et il semble que j’ai loupé une bonne partie de sport, je prends le train en route, entraînement en 2 colonnes, et on apprend une nouvelle figure : queixada.

Facile à faire ça, me plaît bien. Puis on continue sur des enchaînements de figure (armada, compasso, esquiva, et d’autres que j’ai oublié ). Et c’est bien ça le problème : j’oublie. A chaque fois que je fais un compasso je me remémore ce que j’ai appris avec Sacha (pied en diagonal, devant l’adversaire, balancé d’épaule, et roule ma poule). Mais j’oublie, d’un cours sur l’autre, ce que j’ai appris ; on ne reproduit pas assez régulièrement les mêmes figures.

Ou alors est-ce moi qui ne suis pas assez assidu et devrais aller aux autres entraînement de la semaine ?

La séance se termine par une roda pas si terrible que ça, pleine débutant. Le prof nous apprend un peu les chants.

Je tente de suivre le cours des avancés (un peu pour me donner bonne conscience et faire mon heure et demie hebdomadaire), je fais … juste l’échauffement : trop claqué pour faire la suite (mon tee-shirt et mon short trempés me le confirme).

Une fois dehors j’ai l’impression de n’avoir fait que 10 minutes de capoeira, mais mes muscles et mes cheveux encore trempées de sueur me disent le contraire.

No snow, no fun.

La capoeira, c’est bon pour les danseurs

Encore une fois ça me faisait un poil chier d’y aller, mais encore une fois j’ai très bien fait de me bouger.

Les ‘anciens’ étaient de retour, en tous cas beaucoup de ceux que j’ai vu l’année dernière, dont celui par qui j’ai connu ce sport : dançarino.

Échauffement comme d’hab, puis entraînement à la ginga.

Tiens tiens, je commence à bien la faire, à créer, à faire mon propre style (il paraît que la ginga est propre à chaque capoeiriste, et défini son style). Je commence à danser …

Ensuite, esquiva de frente suivit d’un début de compasso. Mais what the fuck pourquoi faire ?

Ah ouais, ensuite t’enchaîne vraiment par un compasso pour surprendre celui en face qui te faisait un armada. On s’entraîne face à face, et là je reconnais l’entraînement de capoeira tel que je l’avais laissé : transpiration à grosses gouttes.

D’autres arrivent, dont deux nouvelles. Juste à temps pour la roda, les filles …

Elles n’y participent bien sûr pas (autant après un premier cours éventuellement, autant quand tu viens de débarquer, c’est tendu) et se placent à l’extrémité du cercle, face aux joueurs.

Le plus expérimenté, dont c’est l’anniversaire, joue pendant toute la roda. Je surprend des souris sur les visages des deux nouvelles. Pourtant … elles ne connaissent pas les règles, pourtant personne ne parle, pourtant elles sourient.

Étrange les formes que peut prendre la communication. Le … rire ? sourire ? l’empathie ? est-ce contagieux au delà de la parole ? au delà de la culture ?

La neige a changé de nom, de forme.

La capoeira, on peut en faire même avec des lunettes

Reprise aujourd’hui de la capoeira. J’avais trop la flemme la semaine dernière, honte à moi.

Je me recolle donc au cours débutant, échauffement, quelques figures de bases (comme armada et compasso) bien détaillées, d’autres de moins base.

Bon, constat : je préférais tout de même avec Sacha. Moins … « collectif » (of course), plus dirigé sur ce que je souhaite apprendre (si on voulait faire 40000 compasso, on pouvait).

MAIS j’y apprends une passade : comme le compasso au départ, sauf qu’au lieu de balancer la jambe, bah on la met prêt de l’autre, on change, d’appui, puis de jambe, et finalement on a fait un tour. Ça sert donc d’esquive mais si on projette la jambe vers l’adversaire, au lieu de la laisser au sol, on peut doubler l’esquive d’une sort de croc-en-jambe au moment où il nous balance son armada.

J’y découvre une tête que je n’avais jamais vu : lunettes, coupe à la 16ème, un peu le look bobo, la chemise en moins. Aux mouvements à deux, il a l’air bon. Puis je le vois s’entraîner un peu face aux miroirs, ah ouais quand même … il est vif, souple et précis.

Ce qui ne se démentira pas à la roda : il joue contre un autre bon, et c’est juste un plaisir à regarder. Ce qui confirme au passage ce que je me dis : j’aime ce sport. J’aime la roda, où l’on joue, où l’on se sourit, où l’on se taquine. Je ressors à chaque fois trempé, le sourire aux lèvres, et une envie : recommencer, vite.

No snow anymore …