La Capoiera, ça fait mal au bras

Blues du lundi, hier, donc mise en mode automatique au moment d’aller à la Capoeira

Peu de personnes, hier soir, entraînement standard (sauf qu’au lieu de passer de la musique de Capoeira, pendant les échauffements, il ferait mieux de passer Gym Tonic ), on s’entraîne à des trucs un peu touchy.

Petit à petit la ginga rentre, et j’apprends enfin le negativo.

Puis vient la roda. Trop peu de personnes donc c’est mestre poste qui fait la musique. M’emportant, je ne fais que des conneries, au point qu’un gars avec qui je jouais a arrêté la partie pour la recommencer en me disant : « on y va calmement : j’attaque, tu esquive, et on alterne ».

Bilan : un franc coup de pied dans le bras pour cause d’esquive à l’envers (qu’on ne vienne pas me dire que la Capoeira ne fait pas mal … ); un compasso trop rapide sans regarder l’adversaire, que j’ai donc failli éclater; et une entrée dans le jeu loupée pour cause de non observation de ce qu’il s’y passait.

Au moins j’apprends …

Capoeira: éclatage de malléole

Claqué comme je suis, flemme d’aller à la Capoeira. Mais je me sors les doigts du coin/coin et m’y traîne.

Grand bien m’en a pris : aujourd’hui cours avec le professeur Vingador (ou comme quoi on peut ne pas être gaulé comme un dieu grecque et être d’un niveau redoutable 😉 ), en portugais. Et avec plein plein de pédagogie : long entraînement sur les mouvements de base, dialogue, fun, écoute, questions, … Et une mal synchro me fait exploser mon pied contre celui de Thomas. Bilan : 2 éclatages de malléole. Pas de quoi nous empêcher de continuer, mais aïe tout de même.

Pendant que les autres s’entraînaient à des figures tordues, moi je m’entraînait à faire le negativo face à mon miroir … Woa, j’ai encore de l’entraînement avant d’arriver à enchaîner tout ça comme il faut …

Et puis roda. Hé bien la roda avec un profesor, un contra-mestre et quelques très bon élèves, ça déchire, y a du fun et de belles figures.

De quoi donner envie de continuer.

La neige Kris …

Let’s continue …