Les 100°C

La nature sait faire plein de choses que nous, humains, savons faire, mais avec moins de moyens :

  • Elle sait faire un matériau plus solide que le béton (les os) mais à température ambiante, et juste avec du calcaire.
  • Elle sait faire de la colle qui colle sous l’eau (celle des moules) sans produits chimiques
  • Elle sait faire un matériau transparent (celui de certains poissons et animaux de mer) sans avoir besoin de faire fondre du sable
  • Elle sait faire une fibre plus solide que le kevlar (celle de certaines araignées)
  • Elle sait convertir de la lumière en énergie avec un rendement proche de 100% sans avoir besoin de faire fondre du silicium.

Bref, elle fait mieux que nous, mais avec les moyens du bord (carbone, hydrogène, oxygène, azote, et un tout petit peu d’autre chose) et surtout à température et pression ambiante.

Nous, il nous faut des centaines de Pascal et des centaines de degrés,

Ce qu’elle produit ne pollue pas. Par définition ? Dans ce cas nous ne ferions pas partie de la « nature » ? En tous cas ses déchets sont facilement réutilisables par d’autres organismes.

Pas les nôtres.

Les a peu près seules différences que je vois entre ses moyens de fabrication et les nôtres sont la température et la pression. A part ça, nous utilisons grossi modo les même éléments.

Ma théorie (incomplète) est donc que tout ce que nous fabriquons qui nécessite des températures supérieurs à 100°C pollue.

Théorie du conjoint du reste de ma vie

L’hypothèse est la suivante : certaines relations ne sont destinées qu’à vous faire avancer pendant une certaine période de votre, puis se terminent. Il peut en aller ainsi des rencontres, des amis, mais aussi des aventures, ou des mariages.

Pour autant, ça ne doit pas un être un échappatoire facile lors d’une rupture. Ca ne doit pas être un moyen facile de baisser les bras en se disant « c’était la personne de cette période de ma vie » et ainsi ne plus mettre d’énergie dans la relation.

C’est juste une hypothèse à considérer lors d’une rupture.

Maîtriser ses rêves en revient-il à maîtriser sa vie ?

Ou pas …

Étant petit je rêvais de maîtriser mes rêves, c’est à dire pouvoir me dire, dans mon rêve, « Ceci est un rêve » et faire tout ce que je veux.

Il y a plusieurs techniques, pour ça, et j’en connais deux :

  • S’endormir en pensant, ainsi on « amène » sa « conscience » dans son rêve,
  • Trouver / provoquer dans le rêve un événement qui rappel la réalité. Un tintement de sonnette, dans la réalité, qui serait perçu dans le rêve pourrait être cet événement.

Il se trouve que j’arrive parfois à me dire, dans mon rêve, « ceci est un rêve » et faire ce que je veux.

Il se trouve aussi que j’ai réussi à faire ça à peu près au même moment où j’ai réussi à prendre le contrôle de ma vie.

Y a-t-il un parallèle ? Les rêves reflètent notre vie, c’est clair, mais notre attitude envers / dans nos rêves reflètent-ils une attitude envers / dans notre vie ?

Apparences

Et si ceux qui ne sont pas sûr d’eux jouaient sur leur apparence plutôt que d’essayer de muscler leur esprit parce que l’apparence est bien plus facile à contrôler ?

Est-ce, dans ce cas, un moyen de voir ceux qui ne sont pas sûrs d’eux ? Y a-t-il un rapport entre quelqu’un de constamment bien sapé et quelqu’un sûr de lui ?

Devises

Et si les devises de chacun reflétaient plus que tout autre chose leurs peurs et faiblesses ?

« Quand on veut, on peut »

« ne fait pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse »

« Goûte chaque instant comme si c’était le dernier »

« De la différence naît la richesse »

Je veux dire par là que dans ce cas il faudrait vraiment se pencher sur la devise de chacun et l’avoir en tête à chaque fois qu’on voit la personne.

Quantique

La mécanique quantique fonctionne ainsi : une particule n’existe pas. N’existent que des probabilités qu’elle soit en un endroit ou dans un autre jusqu’à ce que la mesure (de la position) se fasse. Dans ce cas elle « décide » où elle se trouve.

Et si la pensée était comme la mécanique quantique, c’est-à-dire que tant qu’une idée n’est pas formulée, sous forme de parole ou d’acte, elle n’existe pas vraiment, ou en tous cas dans un état incertain ? Que tant qu’une décision n’a pas été édictée le choix est toujours incertain ?

Selon un des derniers Sciences&Vie les neurones sont de machines statistiques, et pas à état défini, ce qui tendrait à prouver cette hypothèse.

Ecologie et hygiène

L’autre matin, dans ma douche, je regardais ce que j’avais autour de moi. J’ai pris le gel douche et j’ai lu ce qu’il y avait dedans. J’avais dans les mains un flacon en plastique (donc de pétrole) plein de substances chimiques (donc de l’énergie et d’autre produits chimiques, plus ou moins dangereux pour la nature)

Outre le fait que chaque chose fabriquée à un impact sur la nature, ce qui tendrait à amener à la conclusion que pour être vraiment écolo il faudrait ne plus rien consommer du tout, je me suis remémoré mon voyage dans le Ladakh. Où nous n’avions pas grand chose, où nous nous lavions dans les torrents, où nous consommions en réalité peu de choses.

Et puis je me suis remémoré ma cuisine et ses produits d’entretiens (de hygiène de soi à l’hygiène de l’appart’) : encore du pétrole, de l’énergie et des produits chimiques.

Puis les hommes préhistoriques : pas d’hygiène, pas de produits chimique.

Et puis tous les produits d’entretiens et d’hygiènes qui m’entourent, et puis tous ceux qui existent, et puis l’évolution du monde (plus grande espérance de vie parce qu’entre autres meilleurs hygiène)

Et si l’augmentation de l’hygiène se faisait au détriment de l’écologie ?