La capoeira c’est sympa, mais quand y a trop de monde, moins

Capoeira Capoeira Capoeira … Jamais envie d’y aller, mais je fais toujours bien de me motiver.

Comme c’est la roda do mes les cours sont un peu spéciaux : entraînement pour tout le monde pendant 1h30, puis roda.

Et comme on est beaucoup, c’est un peu le souk. Pas gym tonic cette fois-ci. Entraînement classique : ginga, entraînements en ligne, puis deux par deux. Assez crevant. Pendant la dernière demi-heure, entraînement libre. Je copie un peu, j’essaie le macaco. Enfin … des figures qui s’en rapprochent, plutôt. Ce qui fini par me niquer le dos.

Puis rentrage, encore une fois tout trempé.

Je pense que j’en suis à un plateau : il me faudra du temps pour progresser.

Ou alors bien plus d’entraînement.

Snow is always nice …

Griffonage

En achetant des post-its pour le taf, samedi, j’ai acheté des stylos pour écrire sur les vitres.

Naïvement, au départ, je pensais que j’allais pouvoir m’en servir pour écrire ma liste de courses … Mais en fait ils écrivent trop gros.

Après quelques minutes de déconvenue, j’essaie sur une vitre : gros pâté qui coule. Arf …

Et puis quelques heures plus tard, je réessaie. En fin de compte c’est assez plaisant : ça écrit pas mal.

Et puis je percute tout le potentiel de la chose : j’ai quatre couleurs, plein de vitres, et encore plus de surfaces lisses. J’ai griffoné quelques mots hier soir sur mes miroirs, et d’autre encore ce matin, mais sur mes vitres.

J’AIME ça ! Je vais faire des dessins, marquer des phrases, colorier, faire des frises et des gribouillages. Yeah !

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La Capoiera, ça fait mal au bras

Blues du lundi, hier, donc mise en mode automatique au moment d’aller à la Capoeira

Peu de personnes, hier soir, entraînement standard (sauf qu’au lieu de passer de la musique de Capoeira, pendant les échauffements, il ferait mieux de passer Gym Tonic ), on s’entraîne à des trucs un peu touchy.

Petit à petit la ginga rentre, et j’apprends enfin le negativo.

Puis vient la roda. Trop peu de personnes donc c’est mestre poste qui fait la musique. M’emportant, je ne fais que des conneries, au point qu’un gars avec qui je jouais a arrêté la partie pour la recommencer en me disant : « on y va calmement : j’attaque, tu esquive, et on alterne ».

Bilan : un franc coup de pied dans le bras pour cause d’esquive à l’envers (qu’on ne vienne pas me dire que la Capoeira ne fait pas mal … ); un compasso trop rapide sans regarder l’adversaire, que j’ai donc failli éclater; et une entrée dans le jeu loupée pour cause de non observation de ce qu’il s’y passait.

Au moins j’apprends …

tmpfs, cas d’usage

Intro

tmpfs est un système de fichier en RAM dispo sur pas mal d’*nix-like (OpenBSD, FreeBSD, GNU/Linux, Solaris, pour ceux que j’ai touché) (vu que sous *BSD ça s’appelle md mais j’ai la flemme, je dirai tout le temps tmpfs, na 🙂 ).

Vous allez me demander à quoi ça sert… Sachez que la RAM est 1 million de fois plus rapide qu’un disque dur : les accès sur la première sont de l’ordre de la nanoseconde, et sur les seconds de l’ordre de la dizaine de millisecondes. Ok : les mécanismes de cache du disque dur font que les accès sont bien plus rapide mais ils sont loin d’égaler ceux de la RAM.

So what ? Sans aller jusqu’à un rapport 1000, les accès aux fichiers dans un tmpfs sont 10 à 50x plus rapide, et son purement électronique : pas de mécanique à faire tourner. Vous voyez les bénéfices ?

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tmpfs, use case

Intro

tmpfs is a memory filesystem available on many *nix (OpenBSD, FreeBSD, GNU/Linux, Solaris, for those I’ve touched) (it’s called md on *BSD but I’ll always refer to it as tmpfs)

You’ll ask me what it is used for … Please note that the RAM is 1 millions times faster than a hard disk : access on the former are of nanoseconds, tenth of milliseconds on the latter. Okay, cache system on hard disk made those access are faster than I say, but they are far from those of RAM.

So what ? According to my small tests, without being 1000x faster access time are 10 to 50x faster, and only electronic : no mechanism. You see my point ?

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Apparences

Et si ceux qui ne sont pas sûr d’eux jouaient sur leur apparence plutôt que d’essayer de muscler leur esprit parce que l’apparence est bien plus facile à contrôler ?

Est-ce, dans ce cas, un moyen de voir ceux qui ne sont pas sûrs d’eux ? Y a-t-il un rapport entre quelqu’un de constamment bien sapé et quelqu’un sûr de lui ?

La capoeira c’est bon même quand il fait froid

Enfin, pas trop quand même …

Arrivé un peu à la bourre, salle pas chauffée (hé oui, c’est un squat) échauffements comme la dernière fois, sauf que les pompes sont remplacées par de negativo d’un côté et de l’autre.

On se refait des échauffements en ligne avec au, puis la pasada comme une des autres fois (un compasso mais fait dans un carré). Comme c’est une esquive on la couple à une attaque compasso.

Pasada que j’arrive décidément pas à faire dans le mouvement.

Puis viens la roda, sans grande nouveauté.

Je crois que j’en suis à un stade où je plafonne, et je ne le dépasserai pas tant que je n’en ferai pas un peu plus souvent (à moins qu’en fait je me fasse chier … ). Et j’en reviens au problème de départ : la capoeira n’est pas ma vie, et je n’y passerai pas toutes mes soirées.

Ceci dit … je me suis informé sur le krav maga, hier soir, et ça aurait l’heur de me plaire, ce truc-là …

Devises

Et si les devises de chacun reflétaient plus que tout autre chose leurs peurs et faiblesses ?

« Quand on veut, on peut »

« ne fait pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse »

« Goûte chaque instant comme si c’était le dernier »

« De la différence naît la richesse »

Je veux dire par là que dans ce cas il faudrait vraiment se pencher sur la devise de chacun et l’avoir en tête à chaque fois qu’on voit la personne.

Quantique

La mécanique quantique fonctionne ainsi : une particule n’existe pas. N’existent que des probabilités qu’elle soit en un endroit ou dans un autre jusqu’à ce que la mesure (de la position) se fasse. Dans ce cas elle « décide » où elle se trouve.

Et si la pensée était comme la mécanique quantique, c’est-à-dire que tant qu’une idée n’est pas formulée, sous forme de parole ou d’acte, elle n’existe pas vraiment, ou en tous cas dans un état incertain ? Que tant qu’une décision n’a pas été édictée le choix est toujours incertain ?

Selon un des derniers Sciences&Vie les neurones sont de machines statistiques, et pas à état défini, ce qui tendrait à prouver cette hypothèse.

Ecologie et hygiène

L’autre matin, dans ma douche, je regardais ce que j’avais autour de moi. J’ai pris le gel douche et j’ai lu ce qu’il y avait dedans. J’avais dans les mains un flacon en plastique (donc de pétrole) plein de substances chimiques (donc de l’énergie et d’autre produits chimiques, plus ou moins dangereux pour la nature)

Outre le fait que chaque chose fabriquée à un impact sur la nature, ce qui tendrait à amener à la conclusion que pour être vraiment écolo il faudrait ne plus rien consommer du tout, je me suis remémoré mon voyage dans le Ladakh. Où nous n’avions pas grand chose, où nous nous lavions dans les torrents, où nous consommions en réalité peu de choses.

Et puis je me suis remémoré ma cuisine et ses produits d’entretiens (de hygiène de soi à l’hygiène de l’appart’) : encore du pétrole, de l’énergie et des produits chimiques.

Puis les hommes préhistoriques : pas d’hygiène, pas de produits chimique.

Et puis tous les produits d’entretiens et d’hygiènes qui m’entourent, et puis tous ceux qui existent, et puis l’évolution du monde (plus grande espérance de vie parce qu’entre autres meilleurs hygiène)

Et si l’augmentation de l’hygiène se faisait au détriment de l’écologie ?