Se demandait Kant.
Ou le déclic « je suis une tanche »
Autant j’ai vaguement une réponse pour les deux premières, autant je ne savais pas vraiment répondre à la dernière …
Quoi qu’il soit, comment dire … J’ai explosé de rire, jeudi dernier, sur les Champs, en prenant conscience, bienheureuse révélation, que je suis une quiche, une tanche intersidérale.
En quoi ? En quelques domaines sans grandes importance : prise de Grandes Décisions, pêche à la girelle, gestion de relations proches (dont, au moins, celle entre moi et moi-même, mais surtout avec les gens qui me touchent). Je suis une indéniable truffe dans au moins ces domaines. Et cette révélation est en faite merveilleuse : courge finie, je n’ai pas de point de comparaison donc pas de pression, pas de modèle, pas de chemin donc pas de peur de me tromper.
Liberté absolue, le kif.
Rien à perdre (je ne peux pas régresser, hé ! ), mon niveau est le zéro absolu dans ces domaines. Je ne peux pas tomber plus bas, tout progrès est une cerise sur le gâteau, une victoire éphémère, un cadeau bonux.
Poireau complet, tous les espoirs me sont donc permis.
Tracklist : « Sweet Charlemagne », de Misteur Valaire (ce que je peux adorer Misteur Valaire … ) pour le rythme de ces phrases : « 1 : je grossi. 2 : je ne maigri pas. 3 : je ne réfléchi pas à ce que fais. 4 : je ne fini pas ce que je commence. 5 : je perds mon temps à l’université », qui ressemble à celui de celles du titre de ce billet.
Dans ces conditions, tu ne peux que grandir.
L’avenir t’appartient.
Sauf que…l’Espoir engendre l’attachement et la peur.
« Le passé est passé,le future n’est pas encore là,le Présent EST une bénédiction »
Auteur:?