La capoeira c'est bon aussi pour les débutants

C’est là qu’on se prend un petit coup de vieux …

Capoeira, 2 nouvelles (et demi : Camille).

Prof Dolar nous fait cours. Pixote commence en attendant que le prof arrive. Les échauffements ne sont pas ceux dont j’ai l’habitude. Anyway, on s’échauffe, le prof fait cours, je m’entraîne avec 2 bons (et de la neige qui sent bon), et vraiment j’ai du mal avec l’enchaînement des mouvements. Plus que les autres, j’ai l’impression.

J’enseigne un peu à une des nouvelles. Du coup je me sens … meilleurs : je transmet la philosophie de la capoeira.

La roda vient. Rien d’extraordinaire.

Je me suis super motivé pour y aller, et ça me fait comme d’habitude : quand j’y suis j’ai envie de continuer.

Continuons …

Capoeira: éclatage de malléole

Claqué comme je suis, flemme d’aller à la Capoeira. Mais je me sors les doigts du coin/coin et m’y traîne.

Grand bien m’en a pris : aujourd’hui cours avec le professeur Vingador (ou comme quoi on peut ne pas être gaulé comme un dieu grecque et être d’un niveau redoutable 😉 ), en portugais. Et avec plein plein de pédagogie : long entraînement sur les mouvements de base, dialogue, fun, écoute, questions, … Et une mal synchro me fait exploser mon pied contre celui de Thomas. Bilan : 2 éclatages de malléole. Pas de quoi nous empêcher de continuer, mais aïe tout de même.

Pendant que les autres s’entraînaient à des figures tordues, moi je m’entraînait à faire le negativo face à mon miroir … Woa, j’ai encore de l’entraînement avant d’arriver à enchaîner tout ça comme il faut …

Et puis roda. Hé bien la roda avec un profesor, un contra-mestre et quelques très bon élèves, ça déchire, y a du fun et de belles figures.

De quoi donner envie de continuer.

La neige Kris …

Let’s continue …

Plouf contre GTD

Guillaume, un collègue expert en GTD, fait une session à l’USI concernant le plouf

Lui ayant fait part de mes nombreux plouf, il m’appelle pour en discuter.

On en discute donc, et il me demande quelle action, pro ou perso, ai-je en tête et sur laquelle il pourrait m’aider à ce qu’elle ne fasse pas plouf. Je lui dis « écrire un bouquin ».

Extrait.

Lui: qu’est-ce qui t’empêche de le faire?

Moi: me manque un scénario. Disons que j’ai plein d’idées mais je les note pas.

Lui: qu’est-ce qu’il faudrait pour que tu les note ?

Moi: bah … un papier et un crayon greffés à la main !

Lui: et qu’est-ce qui t’empêche d’avoir un papier et un crayon toujours sur toi ?

Moi: … euh, rien.

Lui: dans GTD, on vient d’identifier la prochaine toute petite action à faire : avoir un papier et un crayon dans ta poche. Ca te permettra de noter tes idées pour faire un scénario pour faire un bouquin. Ok pour dire que ta prochaine action est d’avoir un papier et un crayon dans ta poche ?

Moi: ok, disons !

Lui: ok. On se retrouve la semaine prochaine vous voir si ça a avancé ?

Moi: ok !

Simple, efficace, pas prise de tête. Sympa pour un jour comme aujourd’hui 🙂

Enjoy !

La capoeira, ca fait mal aux mollets

Oué, contractures pendant une semaine, depuis lundi dernier. La classe …

3eme cours, donc. Cours avec les débutants et les moins débutants, le tout après l’AG.

Surprise: du monde était venu à l’AG, et ne restait pas pour le cours. Je me serais attendu à l’inverse …

Entraînement, so. Sauf que je me sens sérieusement une quiche, à ne pas savoir enchaîner les mouvements aussi bien que les autres. De co-joueur m’aident parfois, je leur en suis gré, mais l’impression reste.

Puis entraînement en 3 groupes successifs. Le prof me dit d’enchainer à mon rythme (sans suivre celui des autres, donc), sauf que le sentiment d’être une quiche persiste …

Puis roda. Loooooongue roda. Je joue 2 fois. Des nouveaux se font féliciter, moi pas.

Gloups …

Je commence à capter un peu mieux et à mieux cerner les liberté qu’on a. Pas forcément besoin d’être en rythme l’un avec l’autre; la ginga est la base de tous les mouvements, c’est d’elle que tous partent et où tous arrivent d’une manière où d’une autre; en jeu on a une bonne grande liberté (et je pense que comme dit dans le titre, le but du jeu est de s’amuser 🙂 )

En sortant, le prof me demande si c’est mon 3eme cours (« oui oui »), puis « t’as vu, ça rentre vite! »

Ah. Si tu le dis, hi hi 🙂

Mal jambes, bien transpiré, c’est cool. Now, time to drink.

Il y a beaucoup de mouvement de base, pas la peine d’essayer d’en inventer d’autres. Mais on peut inventer des enchaînements. En ça, je pense que ça se distingue du Kalaripayatt.

La neige a fondue, plus de monde, plus autant de trip.

Let’s continue to play …