Twittons

Twitter m’éclate.

J’ai pu y suivre les premières heures de la garde à vue nouvelle version (« 2.0 », comme dirait @Maitre_Eolas) quasiment en live mais surtout AVANT (bien avant) d’en lire des lignes dans les journaux.

J’ai pu aussi trouver des articles très intéressants sur différents sujets (techniques, certes) et pu trouver une interview audio d’un prêtre/évêque/je-sais-pas-quoi sur #pisschrist, qui m’a donné un éclairage sur cette œuvre (et l’éternelle connerie sans bornes des intégristes).

Toutefois me reste en tête cet article sur l’humeur des twitos et les cours de la bourse, et une nouvelle d’Orson Scott Card intitulée « l’originiste » où le boulot d’un des mecs était de lire des bouquins et de noter tout ce à quoi lui fait penser ce bouquin, afin de faire des liens improbables entre les livres (genre « Sucker Punch » -> « Le livre tibétain des morts »).

Pourquoi ? Parce que les hashtags me font penser à un fil reliant les perles : les twits. Ces twits reflètent l’opinion « mondiale » sur un sujet particulier. Un peu à l’image des neurones : ils ne sont que des cellules faisant la moyenne des signaux qui les attaque. En suivant un hashtag, et faisant la « moyenne » des twit qu’il relie, on obtient une indication de ce que pensent les twitos de ce sujet. La facilité de publier un twit, la compacité du message garanti le côté brut (non traité ?) de l’information.

De fait, pour paraphraser Gandhi ((‘Tout ce que vous faites est insignifiant mais il est très important que vous le fassiez’)), il est très important que nous twittions.

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