Où l’auteur ne sait finalement pas conjuguer le passé simple.
Étaient présents: Gilles ((hé oui!)), Camille, Arnaud, Thomas, Gabriel.
Gilles, Camille et Arnaud ont rejoint la salle en 1er. Gilles a prétexté une réunion à 14h pour quitter la réunion plus tôt. Thomas et Gabriel sont arrivés peu après Gilles, Camille et Arnaud, mais bien avant que Gilles ne parte.
Après l’échauffement avec Gilles (la discussion ne s’est pas trop enflammée histoire de ne pas lui faire peur), ce fut la guerre.
D’un côté de la table: Arnaud et Gabriel, de l’autre Camille et Thomas. A noter que Arnaud et Gabriel avaient le soleil en face, et que les équipes n’ont pas été changées.
Ce fut donc la guerre: on ne parle pas des retours de Camille (qui furent parfois décevant, au demeurant) mais de ceux de Gabriel, et des attaques de Thomas et Arnaud.
Les attaques de Camille firent penser aux orgues de Staline, Arnaud jouant le rôle de cible. Gabriel essayait de les rattraper, mais jamais il n’y parvint.
La guerre se fit parfois (pour ne pas dire souvent) hors du champs de bataille. Les deux parties essayerent de recentrer le débat mais la vivacité des échanges prit le dessus et la guerre, cette garce indomptable, ne se laissat pas enfermer.
On notera le fait de guerre suivant:
- Une réplique ‘ayu-ken-sho-poa-dans-ta-face’ de Camille, parfaitement replacée sur le champs de bataille.
Des dommages furent à déplorer, comme dans toute guerre:
- Deux cuisses de Camille, la faute à Arnaud.
- Un bout de gras d’Arnaud, la faute à Camille.
- Un bout de gras de Gabriel, la faute à Camille.
- Une ‘bricole’ d’Arnaud, la faute à Camille.
- Deux doigts à Arnaud, la faute à Gabriel.
Gab je pense que tu as omis la brûlure induite à mon coéquipier de ce jour, Thomas.
Je lui ai brûlé l’avant bras avec le coté de la raquette d’un coup sec et franc.
Encore désolé Tom. ;o)