Où l’auteur se retrouve chez lui, un peu.
Marrakech me fait penser aux villes d’Inde : mêmes odeurs de gaz d’échappement, mêmes odeurs de chaudronnerie, mêmes odeurs de viandes avariées, mêmes trottoirs défoncés, même bordel sur la route, même population bigarrée, même incompréhension de la langue, même insupportable bruit, des échoppes partout, des marchands ambulants, royaume de l’économie souterraine, de la foule, bref : un beau bordel, de la vie.
Ceci doublé d’un soleil magnifique, appréciable quand on vient de Paris, fait que, ma foi, arrivé à Marrakech, je me suis pris à immensément sourire et à, disons-le, me sentir bien dans cette ville vivante.
Et je vous raconte même pas comment s’est passé le nouvel an 😉