« Pouette » fait la ville de Kathmandou

Premier trajet en avion, Paris Muscat. Stressé comme je le suis rarement.

Pourquoi ? Pas trop d’idées… Pas la moindre foutue idée. Stress irrationnel. Non en fait je le sais mais ne peux pas l’avouer.

Muscat, donc, ou nous piratons un hôtel de luxe afin de dormir. J’ai toujours le bide noué, la bouffe de l’avion ayant du mal à passer, doublé de ce stress étrange, triplé de palpitations et l’étranger impression d’avoir la grippe.
« Une bonne suée et ça sera passé » me dit mon compagnon de route, faisant référence à la nuit que nous allons passer, m’enjoignant de fait à dormir habillé.

Ce que je fait, et la nuit est agitée. Je rêve beaucoup, me réveil sans cesses, ne me rappel plus de rien à mon réveil, mais ai l’impression d’avoir dormi une journée entière.

Arrivage à Kathmandou.

Kathmandou… 13 ans que je n’y avais pas mis les pieds. Rien n’a changé si n’est qu’en cette saison il fait doux et sec, et la ville moins odorante, donc supportable.

Les bruits, par contre, sont les mêmes que dans mes souvenirs.

Ville vivante, les échoppes débordent sur les rues étroites, du bordel partout. La vie.

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