Et tu te retourne toujours vers tes démons.
Parce qu’ils te sont familiers, parce que tu les connais, parce que eux se tiennent à distance, parce que eux tu les connais par cœur.
Parce que même s’ils te font souffrir tu sais les gérer. Ils sont en toi, ils t’appartiennent, tu sais œuvrer avec, contre, sans. Leur abandonner la victoire, concéder le nul ou plus rarement prendre l’avantage.
Ils t’agitent, te tourmentent, mais ils sont familiers, et en fin de compte partie de toi et pas si dangereux.