La mécanique quantique fonctionne ainsi : une particule n’existe pas. N’existent que des probabilités qu’elle soit en un endroit ou dans un autre jusqu’à ce que la mesure (de la position) se fasse. Dans ce cas elle « décide » où elle se trouve.
Et si la pensée était comme la mécanique quantique, c’est-à-dire que tant qu’une idée n’est pas formulée, sous forme de parole ou d’acte, elle n’existe pas vraiment, ou en tous cas dans un état incertain ? Que tant qu’une décision n’a pas été édictée le choix est toujours incertain ?
Selon un des derniers Sciences&Vie les neurones sont de machines statistiques, et pas à état défini, ce qui tendrait à prouver cette hypothèse.