Les mots sont le sang de l’âme.
Je me demande si elle n’existe pas déjà, celle-là, tiens… Une brève recherche sur Gougle m’informe que non, j’en serais donc l’heureux géniteur, comme a priori les précédentes.
Parfait 🙂
Le cheminement part de ce matin, dans le bus, avec la constatation que j’ai envie d’écrire à une certaine personne.
Pourquoi? Parce que je me sens blessé par elle. Du coup rapprochement: j’écris quand ça va mal. Puis image: écrire tant et tant dans cette situation fait penser au processus de cicatrisation d’une blessure.
Exécution: j’ai écris. Puis encore. Puis j’ai encore envie. Et l’image s’affine: écrire ME fait du bien, écrire comble MA blessure.
Et peu de temps après cette impression se cristallise en cette petite phrase.
Double effet kiss-kool: ça pourrait aussi vouloir dire que les mots sont ce qui meut l’âme. Quoique pour cette dernière signification ça prête à interprétation…