Salon de l’étudiant, vendredi. Afin d’y pécher des informations.
Convergence
Rétrospectivement, je m’aperçois que beaucoup de choses m’ont préparé à ce moment.
Passer par ambulancier ?
Renseignements pris
Pêle-mêle, et grâce à de nombreuses discussions : concours, 3 ans d’études, gagne peu, problèmes de relation avec les médecins, boulot le plus souvent pas excitant, horaires de merde.
Mais tout le monde me voit bien infirmier.
Pourquoi pas faire ambulancier (18 semaines de formations, possibilité d’alternance) avant histoire de mettre un pied dans le médical ? Puis faire ensuite infirmier chez les pompiers ou dans une ONG ? A étudier.
Pourquoi pas pompier ? Pourquoi pas faire de l’informatique dans le médical ? Aide-soignant ? Médecin ? Aider les gens d’une autre manière ?
Parce que … dans mon imaginaire c’est ainsi : infirmier, point. La capacité d’aider les gens d’une manière pratique et proche.
Première étape : passer son PSC1, le 22 février.
Infirmier !
Roquette
Ce n’est pas qu’une salade.
Flèche
Suite de mots, action, comportement, événement sans véritable sens en soi mais que vous enduisez de poison, et que vous vous plantez dans le cœur.
2015
Pour 2015 je me souhaite de :
Beaucoup moins conjuguer « devoir » au conditionnel présent et passé, m’autoriser à être imparfait.
Faire des choix avisés, beaucoup plus me respecter.
Continuer à grandir sur le chemin que j’ai choisi, sans trop en sortir.
Prendre plus de décisions sous l’emprise du courage et moins sous celles de la peur.
Regarder au loin plutôt que le bout de mon groin.
Continuer à donner plus et à attendre moins.
Et tout ceci, je vous le souhaite aussi.
Ce chateau
Cette citadelle autour de laquelle je tourne sans jamais y rentrer. Sans jamais faire mine de l’approcher.
Cette place forte à l’intérieur de moi-même, la seule qui existe. La seule qui vaille. La seule sûre. Pourquoi ne la rejoins-je pas ?
Pourquoi est-ce que je tergiverse, repousse, fais des ronds de jambes, trouve toutes les raisons du monde pour l’éviter alors que c’est le seul endroit sûr en cette période troublée ?
Ce poison
Ce poison qui te brûle le cœur… Que tu fais couler, goutte à goutte, de temps en temps.
Celui dans lequel tu aime te tremper, parfois, et que tu chasse d’une secousse de tête.
Celui qui t’atterrit dessus dans prendre gare, au détours d’une pique ou d’une roquette et qui laisse de sacrés trous qui ne se reboucheront probablement jamais.
Celui qui te rend aveugle le temps qu’il te brûle.
Poison de merde que je n’arrive ni à éviter, ni à chasser sans qu’il laisse de traces.
Tracklist : le Viradouro 2015, parce que c’est ce que j’ai en tête. Bossa nova time …