Le champs de ruine

Environment__POST_APOCALYPSE_by_I_NetGraFXJ’étais bien à l’abri, chez moi. C’était raisonnablement dérangé, je pensais que j’en avais pour un temps pas trop conséquent à tout mettre en ordre ; disons plus ou moins une vie.

Et puis le brouillard s’est levé autour de moi, un peu brutalement. Je m’étais a peine aperçu qu’il y en avait ; disons que je le voyais mais je ne savais pas qu’il était aussi épais.

Bref, il s’est un peu levé, et j’ai contemplé : un champs de ruine.

Des fantômes, des flammes, des trous d’obus, des strates de poussière, beaucoup de silence, plus aucune route, tout bâtiment détruit.

Comment ai-je pu être aussi aveugle à ce qui se tramait sur mon territoire ?

Combien de temps va-t’il me falloir pour faire quelque chose de cohérent de tout ce bordel ?

Se laisser guider

J’adore mon prof de capoeira, je ne sais pas bien pourquoi.

Je le connais depuis plus de 4 ans et c’est de lui que je tiens cette âme de ce sport, qui constitue ma structure depuis lors.

L’ai-je choisis pour me guider ? Qu’attend-il de moi ?

Je lui parle peu, mais Buddha sait à quel point il m’a influencé …

 

Inspiration :

Dans mon sac il y a …

Des baguettes de caisse, mon carnet de chèque, un appareil photo numérique, un bouquin que j’ai lu et pas encore enlevé (« Rituel », Mo Hayder), un casque audio, un pot de confiture, des magasines (les inrock, philo), un bouquin que je suis en train de lire (« Le sens musical », John Blacking), des stylos, deux clés USB de dépannage d’ordi, un carnet de notes, des médocs (tête, bide), de quoi recharger mes deux téléphones, des cartes de visite, un petit mousqueton, des bouchons d’oreille, mon portefeuille, et d’innombrables papiers que je n’ai pas encore pris le temps de jeter…

Une soirée

G qui aimerait bien coucher avec S1 mais qui couche avec S2 et a faillit coucher avec L1 qui elle couche avec A qui a couché avec S1. Il a aussi couché avec M (qui couche avec D), C (qui couche avec R) et L2 (qui ne couche avec personne de connu). L1 a embrassé C et S2.

Ca, c’est ce qu’on sait.