Ou que ça soit parce que le mal est plus profond: sentiment que la vraie vie n’est pas ici (comment ça je me répète?)
Oui j’y retombe; PVT, je crie ton nom. Sauf que cette fois c’est plus dur: j’ai un peu plus de raisons qu’avant de rester là où je suis.
Mais l’envie est là.
D’un autre côté, c’est pervers: on est presque obligé de se sentir bien. Du coup ça fait du stress. Autant avant je m’en cognais d’aller bosser, autant maintenant j’ai des appréhensions.
Mauvais, ça…