14 – Grindavik

On a fait le camping-basket le plus honnête de notre vie ! Le camping était ouvert mais désert. #fantome. On s’est posé, la tempête ne nous a pas trop secoué, et on a décampé.

Le temps déprimant ne nous a pas empêché de nous balader dans des solfatares. Moins nombreux qu’à Hverir mais avec un charmant air de jardin japonais ! Si on oublie l’odeur d’œuf pourri et que l’eau est à 100°…

Ensuite on est allé dans le Mordor ! Enfin… disons qu’on y est passé : la péninsule de Reykjanes, à certains endroits est noire avec des cratères et des plaques de lave séchée et fendue. Un peu flippant !

Tout ça pour aller voir le pont (symboliquement) entre les deux plaques.  Comme il faisait toujours pourri, on est allé se réfugier dans un musée : celui consacré au commandant Charcot (oui, le fils du neurologue, qui a donné son nom à la SLA) qui, pourquoi pas ? (vous l’avez, celle-là ?), est allé exploré le pôle nord et le pôle sud, faisant avancer la science à grands pas, avant de se gaufrer au large de Reykjavik. 1 survivant, et ce n’était pas lui.

Là on est dans un camping à Grindavik, où vu le leftover de malade digne d’un supermarché, on commence les courses pour le trek !

Ah, vous pouvez dire à petit frère que ça ne sert à rien de regarder la météo de dans plus de 24h ?