Et donc voir le jour suivant comme vide de contraintes, comme un espace vide à remplir à loisir, comme un espace où le temps va pouvoir se déployer et des ramifications s’épanouir.
Je ne grimace plus quand j’ai une idée en tête et que le jour suivant va arriver. Je ne grimace plus quand le soir arrive et que des idées ou des envies m’arrivent.
Je ne grimace plus quand je fais ce que j’aime : je sais que je vais avoir le temps de le faire, je vois les heures se déployer devant moi, et rien pour les arrêter.