Le concours s’est bien passé, à mon sens. Je croise les doigts …
J’ai fait un stage d’observation aux urgences. J’ai croisé des gens extraordinaires.
Je suis en train de faire mon dossier pour la demande de financement. Mes yeux se croisent …
Le blog sensitif – hautement inflammable
« Va vite faire quelque chose de tes mains »
Je suis moyen stressé, moyen confiant. Disons que je peux pas faire beaucoup mieux que ce que j’ai fais, et je ferai de mon mieux devant la feuille.
N’empêche que …
Ce n’est pas l’épreuve la plus dure (ça risque d’être l’oral), ni la plus importante, je n’ai pas grand chose à perdre, sauf du temps.
Mais c’est la première étape concrète.
Rétrospectivement, je m’aperçois que beaucoup de choses m’ont préparé à ce moment.
Pêle-mêle, et grâce à de nombreuses discussions : concours, 3 ans d’études, gagne peu, problèmes de relation avec les médecins, boulot le plus souvent pas excitant, horaires de merde.
Mais tout le monde me voit bien infirmier.
Pourquoi pas faire ambulancier (18 semaines de formations, possibilité d’alternance) avant histoire de mettre un pied dans le médical ? Puis faire ensuite infirmier chez les pompiers ou dans une ONG ? A étudier.
Pourquoi pas pompier ? Pourquoi pas faire de l’informatique dans le médical ? Aide-soignant ? Médecin ? Aider les gens d’une autre manière ?
Parce que … dans mon imaginaire c’est ainsi : infirmier, point. La capacité d’aider les gens d’une manière pratique et proche.
Première étape : passer son PSC1, le 22 février.