Faire un stage infirmier en Estonie… Pff, quelle idée ?
Non pas que je regrette, non non. Mais faire un stage (observé, noté, avec des objectifs) infirmier (avec des vrais gens qui souffrent vraiment) dans un pays que personne ne sait situer, avec une langue vernaculaire qui a peu de chances de servir ailleurs, faut être un peu concon, non ?
Ah ça oui ça va être épique, enrichissant ; je vais rêver en estonien, améliorer mes compétences en langue des signes, dessins, expressions du visage ; faire un level up en adaptation en milieu plutôt inconnu ; galérer, me planter, faire des impairs, me retrouver le bec dans l’eau, me faire avoir. Avoir mal au crâne à la fin de la journée.
Oui tout ça, oui…
Mais c’est à ça que je suis bon, non ?