La capoeira c’est bon, mangez-en

Ouais, du sport en jogging par 30°C, c’est pas la plus brillante des idées…

Seconde édition: entraînement avec cette fois le vrai prof, et non plus un élève (tout corde grise qu’il est)

Échauffement, entraînement, nouveauté: tous en cohorte quinconcée on fait le même mouvement. Je continu à apprendre à faire la ginga.

Ce sport ressemble vraiment au Kalarippayatt, autant dans les positions que dans l’esprit, mais en moins rigide. Ainsi que dans l’échauffement: chaque mouvement n’est en fait que la préparation à l’entraînement et aux figures.

Ce que j’aime: ça apprend la coordination des mouvements, ce que je sais mal faire, et ça me fait bouger 😉

Ce qui me gêne:  Je ne suis pas du genre à m’investir dans ce genre de choses au point où je pense il faudrait que je le fasse (suivre les voyages, les week-end, les assemblées, les sorties, adhérer à la culture de ce sport, …), mais n’est-ce pas le lot de toutes les assoces ? Et puis, pas assez de liberté dans les mouvements (même défaut que le Kalari, par ailleurs). Chaque position a un nom, et on risque pas d’aller bien loin si on ne les apprend pas. A contrario, la grimpette nécessite peu d’enseignement pour démarrer et avancer.

Mais tout ce qui est complexe est riche (hein Blanche-Neige ? ), so … let’s play 😉