J’ai le cerveau qui fume

Mais j’assume.

Et d’autre part je trouve des parallèles entre la capoeira et le bouddhisme.
Non, je n’en parlerai pas ici, je n’ai pas encore les idées claires là dessus.
Mais reste que j’ai le cerveau qui fume… Je suis habitué à avoir le cerveau comme une pastèque (au sortir de mon triathlon du mardi soir) mais tous les jours, c’est dur.
De fait, je ne retiens pas tout. Mais j’ai espoir que ça soit comme la capoeira : je n’ai pas le sentiment d’apprendre mais ce n’est qu’une impression.
Le pire est de se mettre au lit et se dire que les 8 heures de sommeil qui arrivent ne vont pas servir à bien reposer et que le lendemain ça recommence, aussi intense…

Tracklist : « Sweet Charlemagne » de Misteur Valaire, pour « je grossi, je ne maigri pas, je ne réfléchi pas à ce que dis, je ne finis pas ce que je commence, je perds mon temps à l’université »

1 réflexion sur « J’ai le cerveau qui fume »

  1. Quand j’ apprends des « choses » d’une tel densité , ce que je fait c’est…je reprends mes notes et ensuite…je lâches et laisses infuser, comme un thé . Par la suite tout ce met en place sans que je m’en occupe vraiment,probablement comme la capoeira 😉

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