Nouvel hébergeur (pas le définitif, mébon), nouvelle skin.
En plus je peux faire certaines choses plus simplement (mettre à jour, toussa)
😉
Le blog sensitif – hautement inflammable
Nouvel hébergeur (pas le définitif, mébon), nouvelle skin.
En plus je peux faire certaines choses plus simplement (mettre à jour, toussa)
😉
Capoeira hier, toujours avec Sacha, toujours dans le parc Monceau.
Seulement, comme nous étions claqué tous les deux (pas pour les mêmes raisons) nous n’en avons pas fait plus que ça : à peine une heure.
Lire la suite « La capoiera c’est sympa, mais une avec une douche ensuite, c’est mieux »
J’ai déménagé un couple d’ami (ouh que j’aime pas cette expression), samedi. Nous étions 5 paires de bras.
Arrivée chez dans leur nouveau chez eux (2ème étage, sans ascenseur), j’ai mis en place le « flux » de déplacement des cartons sur la base de l’expérience d’un précédent déménagement.
Lire la suite « La théorie des contraintes appliquées à un déménagement »
Pas d’organes, hein.
Bref, capoeira avec Sacha ce dredi entre midi et deux. Un peu plus d’échauffement, répétition des même figures.
Ca rentre, ça rentre. Sacha est un très bon prof, mais je confronterai ses enseignements à ceux d’autres profs 🙂
La capoeira, j’aime ça !
J’ai acheté, ce week-end, un consomètre (enfin … un wattmètre déguisé, quoi) dans le but de vérifier ce que consomment les différents appareil chez moi.
Il y a quelques jours, écoutant ce qui traînait sur mon ordi, je jette une oreille à de la musique de capoeira que j’avais téléchargé en prévision d’une session avec Sacha. Session que ne nous n’avons pas fait, mais c’est pas grave.
Avec l’écoute de la musique surgit l’envie de bouger. Je tapote donc Sacha pour qu’on aille en faire. Ça a été hier, dans le parc Monceau (oui, juste avant l’apéro à ma boîte).
Au programme : armada et compasso à la méthode dojo : répétition jusqu’à ce que le geste soit parfait. Ce qu’il n’a pas été, of course, mais d’une part je désespère pas que ça rentre, d’autre part ça fait p* du bien de se bouger le coin-coin.
Du coup, dojo style : les prochaines fois seront même heure, même jour.
Merci Seucha !
Fini de rigoler …
Une fois dans le taxi qui me ramenait de l’aéroport, fini de rigoler. C’est plus l’heure de faire des blagues, de raconter des conneries, de faire le con comme je faisais là-bas. Retour à la vie sérieuse.
Paris semblait une ville fantôme, par rapport à Delhi : pas de klaxons dans tous les sens, pas de véhicules ou de vaches en travers de la voie, que des voitures bien entretenues, chacune sur leur file, pas un papier qui traîne (comparativement, hein), des routes bien entretenues, une température clémente.
Manque d’extrêmes, ce pays ..
Rien n’avait changé, chez moi. Comment cela aurait-il pu, d’ailleurs ? Par la grâce du Krist ? Je ne lui en demandais pas tant, de toute façon.
Fini de rigoler, retour à la vie normale. Reprendre le cours des choses. Je m’étais échappé quatre semaines, un trou noir dans l’univers que j’ai quitté, je suis revenu changé, le monde pas tant que ça, mais mon monde certainement un peu. Il fallait que je me mette à jour.
Fini de rigoler, plus de crises de rire avec Côme ou Charles, ma parenthèse enchantée s’est terminée. Je me sens pas assez à l’aise dans ce monde-ci, qui est pourtant celui où je passe la plupart de mon année, pour sortir autant de connerie que là-bas, pour être autant monté sur ressorts.
Pourquoi ? Je sais pas, je le sens comme ça. Peut-être que ce monde-ci ne me laisse pas autant de liberté, ne laisse pas autant de place à mon propre rythme (« mais crée donc, mon lapin ! ») Trop de contraintes ? Trop de couloirs, trop de canaux, trop de lignes, trop de prisons, trop de gens ?
Fini de rigoler. Depuis, je suis plus grave. Pas que je fasse la tête, non, je suis juste … jet largué, la tête dans les nuages, à essayer de voir Pourquoi et Comment. Pourquoi le monde est ainsi, pourquoi suis-je ainsi, pourquoi ceci va dans ce sens, comment appliquer ce que j’ai découvert, comment faire ma trace, comment gérer mieux ce qui va m’arriver, comment être mieux, and so on …
Ouaip, fini de rigoler.