La lumière dans la faille

Samedi dernier je suis allé voir « La faille »

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Me fallait un film sans sentiments, qui tienne éveillé et qui passe au Gaumont Alésia vers 22h.

Exit donc ‘Pirate des caraïbes’, qui passe à 20h. Exit ‘Le scaphandre et le papillon’, ainsi que ‘Les chansons d’amour’, ‘Après lui’ et ‘Zodiac’ (déjà vu).

Alors donc, ce film… déçu, un peu.

La bande-annonce laisse présager un truc bien sport psychologiquement, du genre affpanic_room.gif (oué, ok, c’est pas le meilleur exemple de thriller psychologique, mais c’est parce que je m’attendais à un truc en huis-clos, dans ‘la faille’) mais en fait ça se résume à trouver l’arme du crime!

Par contre, par contre… ce qui m’a frappé, dans le film, c’est l’éclairage des scènes.

Ça m’a frappé dès les premières scènes, et j’ai passé la séance à faire attention à ça… et c’est le souvenir qu’il me reste de ce film: un scénario pas extraordinaire, mais des scènes esthétiquement sublimes…